L’adolescence peut être une période difficile à vivre. Cette période entre deux âges est souvent vécue comme un traumatisme lorsque nos chères petites têtes blondes quittent le royaume de l’enfance pour s’aventurer dans les méandres de l’âge adulte. Pour mieux faciliter le processus, il y a cependant plusieurs choses que vous pourrez faire. Si votre enfant refuse de parler avec vous, faites alors intervenir une personne tierce et neutre. Vous pouvez, par exemple, trouver un psychologue qui pourra s’occuper au mieux de son mal-être. Vous pouvez trouver ici des psychologue à auderghem. Si vous arrivez encore à discuter un petit peu avec votre ado, alors vous n’êtes pas obligés de faire appel à un psychologue, cela pourrait envenimer une situation déjà compliquée, le psychologue étant souvent mal vu par les adolescents. Ils assimilent le psychologue à l’idée de maladie, et de problème venant d’eux, alors que, dans leur tête, tout le monde à tort, sauf lui. Ne le mettez alors dans l’embarras que si la situation l’impose. Vous pouvez aussi lui demander s’il aimerait en voir un. Parfois cette démarche, plus volontaire, lui laisse le choix, et ouvre des possibilités. Il sera plus à même d’accepter votre offre que si vous la lui imposez.
Établir le dialogue
Le dialogue est le plus important dans toutes les relations humaines, quelle que soit leur nature. Rien n’est pire qu’une incompréhension. Pour dialoguer avec votre adolescent, mettez le dans les meilleures conditions possibles. Faites en sorte que votre discussion paraisse « fortuite », et non préparée. Si vous le « convoquez », il ou elle ne se sentira pas à l’aise, et comme pris en otage. L’heure du repas peut-être propice au dialogue. Exposez calmement les faits, et les choses que vous avez à lui dire, mais sans faire de reproche. Demandez lui comment il va, et demandez lui de développer. Faite le se sentir important, et que vous vous souciez, sincèrement, de lui. Il sera alors plus à même de discuter, et de vous parler de son ressenti, ses sentiment, son éventuel mal-être, se qu’il aimerait que vous changiez… Répétez ce processus au moins deux fois par mois. Ce dialogue, même s’il peut paraître anodin, et sans grand intérêt, soulagera considérablement la charge émotionnelle que subit votre adolescent. Si quelque chose de grave arrive, comme du harcèlement scolaire, ou des relations ou de comportements dangereux, il viendra alors plus naturellement vous en parler, et vous pourrez alors gérer cette situation bien plus aisément.